Fondée sur les témoignages du public accompagné par Alias — des personnes trans* et des hommes ayant des relations sexuelles avec d’autres hommes (HSH) en échange d’argent ou de services —, l’étude met en lumière le lien étroit entre ce public et les situations de mal-logement. Pour beaucoup, le logement est à la fois espace de vie et outil de travail, essentiel à la sécurité et à l’autonomie. Pourtant, la majorité vit dans des formes d’habitat précaire relevant du « sans-abrisme caché », limitant l’accès aux droits, à la santé et à la stabilité.
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Entre absence de chez-soi et recherche de stabilité : Parcours de mal-logement chez les HsH et personnes trans* concerné·es par le travail du sexe et/ou la prostitution
TéléchargerCette recherche a été menée par Mauro Striano, ancien coordinateur d’Alias, et Ana Daniela Dresler, chercheuse en études urbaines à l’ULB, spécialiste des inégalités socio-spatiales et de la vulnérabilité en milieu urbain.
