Actualités

Retrouvez toutes nos dernières actualités sur la santé, les droits et les enjeux du travail du sexe/de la prostitution à Bruxelles.

Doucement mais sûrement, Alias reprend ses activités communautaires et participatives. Dès le mois d'octobre 2021, retrouvez l'atelier danse "Creative Body", animé par Arno Ferrera, Marco Torrice et Paola Di Bella. L'atelier se poursuivra jusque juin 2022.

Depuis mars 2020, pour respecter les mesures de précaution face à la pandémie de Covid-19, la permanence médicale d'Alias n'était plus accessible que sur rendez-vous. Bonne nouvelle, à partir de maintenant la permanence médicale est à nouveau accessible sans rendez-vous!

Fin 2020, nous publiions une enquête exploratoire sur la pratique du chemsex parmi les hommes et les femmes trans* qui proposent du sexe tarifé à d'autres hommes. Il y a quelques semaines, Mans, qui a coordonné l'enquête, a répondu aux questions de Komitid.

Le 15 juin dernier, à l'occasion de l'Assemblée Générale de l'asbl, on a dressé le bilan de l'année 2020. La crise sanitaire a largement bousculé nos activités et fragilisé encore les conditions de vie des personnes auxquelles nous proposons un accompagnement psycho-médico-social. Retour sur une année d'urgences et de défis nombreux à relever.

En 2019, nous avons mené une enquête exploratoire sur la pratique du chemsex à Bruxelles au sein de la communauté des travailleurs du sexe / prostitués HsH. Alter Echos a approfondi le sujet en interrogeant Jean-Luc Romero, qui milite depuis 20 ans pour que le tabou se brise et que les prises en charge s'améliorent ; mais aussi en confrontant l'avis de psychologues et de médecins.

Sortis en tout début d'année, les Cahiers du Master Genre de l'ULB réunissent les meilleurs mémoires depuis la création du Master inter-universitaire en 2017. L'un d'entre eux aborde avec justesse la part de performance qu'implique la prostitution pour les personnes interrogées qui la pratiquent.

Karine Lalieux débloque un subside pour les prostitué·es

L'annonce remonte à fin décembre 2020. Alerté par les associations de terrain sur la situation des personnes concernées par le travail du sexe et la prostitution, le cabinet Lalieux a débloqué un subside de 500.000€ qui sera réparti entre Anvers, Gand, Bruxelles, Liège et Charleroi, puisque le sujet est éminemment urbain.